Route

D'une frontière à un autre

Le trafic routier est devenu actuellement le plus vaste réseau de voies de communication. On y voit de toute sorte de conducteurs. Pas seulement dans leur style de conduite, mais dans leur raison d'être sur ces routes. Il y a les professionnels qui transportent des gens, d'autres des marchandises, ou encore des animaux. Il y a ceux qui les empruntent pour aller quelque part et même ceux qui sont là justes pour le plaisir d'y être. Avec cela, les types de véhicules de toutes les tailles et de toutes les marques arrivent aussi. Ainsi, il y a les berlines que l'on associe souvent à la famille, les tout-terrains pour les amateurs de puissance et capacité exceptionnels, les camions pour le transport d'objets, les autocars pour aider les gens à parcourir le pays, et les sportifs, qui généralement n'ont que deux places, et qui sont juste là pour la vitesse.

Des voies serpentant la nature

D'un autre point de vue, on peut considérer les routes comme les vaisseaux sanguins d'un pays puisque sont développement socio-économique en dépend énormément. En effet, tous les acteurs de la vie d'une nation passent par ces voies, du moins en partie pour les autres. Si un village existe quelque part, où que cela puisse être, le premier devoir de l'État est de le rendre accessible à d'autres. Cela permettrait de leur vendre des choses ou d'acheter leurs produits. Les faire entrer dans un univers mercantile n'est pas réellement le but, mais plutôt de leur offrir les mêmes conditions que ce que tous les autres ont. Comme ils font partie des contribuables, ils ne peuvent donc ne pas entrer dans le système financier d'un pays.

Au-delà des montagnes et des rivières

Les plus grandes infrastructures au monde sont aussi dans le domaine du transport et coutent souvent une bagatelle ne pouvant être prise en charge par des particuliers ni même par des sociétés privées. Ainsi, face à des fleuves, des ponts sont érigés, et cela, même face à un estuaire large de plus de quatre kilomètres, voire un bras de mer. Devant les montagnes, pour ne pas perdre de temps à en faire un détour, on creuse des tunnels.